Nous avons été alertés de la mésaventure d'une infirmière, mère de deux enfants, évincée du logement concédé pour nécessités de service situé dans une unité de Meurthe et Moselle attribué à son petit-ami, gendarme. Cet événement a fait les choux gras d'une certaine presse, des réseaux sociaux et même du syndicat des officiers et commissaires de police.
Cela paraissait de prime abord un peu brutal, notamment à la lecture des articles d'une presse écrite partisane, mais le buzz éditorial, repris avec amateurisme par certains syndicats policiers, nous imposait, quand bien même nous n'étions pas saisis, de vérifier la véracité des faits.
APNM Gendarmes et Citoyens à pris attache avec les intéressés, acteurs malgré eux d' une fable mal écrite et surtout mal racontée.
Cette jeune femme n'a jamais été évincée de la caserne. C'est un choix convenu entre elle et son ami gendarme de quitter le logement concédé et de rejoindre sa maison pour mieux vivre les contraintes du confinement et y assurer sereinement la garde de ses enfants.
Les propos qu'elle a pu tenir à des journalistes ont été dénaturés et transposés dans un contexte inapproprié. L'euphorie mercantile et intéressée aura fait le reste.
Notre information est sourcée -pour reprendre le langage journalistique- et elle ne souffre d’aucune interprétation. Nous assurons nos deux "tourtereaux" du rétablissement de la vérité et nous invitons les autres acteurs, notamment syndicaux, à corriger leur publication à ce sujet. Cela entretient un mensonge insupportable.
L'APNM Gendarmes et Citoyens est engagée pour améliorer la condition du gendarme d'aujourd'hui et de demain, pour lui et également sa famille. C'est son ADN et agir en transparence est sa raison d’exister.
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