Le 10 août, dans les vestiaires du commissariat central de Lille, un brigadier de 51 ans a choisi de se donner la mort d’une balle dans la poitrine.
Dépressif depuis plusieurs mois ce policier avait été affecté à des tâches de secrétariat. Sa propre arme lui ayant été retirée le fonctionnaire a réussi à s’en procurer une en accédant à l’armurerie.
Il semble que le plan national anti-suicide décrété en janvier par le ministre de l’Intérieur se montre impuissant à juguler tous ces actes auto-agressifs qui ne cessent de se multiplier.
Nous assurons la famille et les proches de notre sympathie et de notre compassion