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Violences contre des gendarmes : deux mois de sursis… et un immense sentiment d’impunité


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Le 19 novembre 2025, le tribunal correctionnel de Toulouse a rendu une décision qui laisse pantois : deux militantes anti-LGV, impliquées dans une action illégale à la ZAD de Saint-Jory, repartent libres avec deux mois de sursis simple.

Rappelons les faits : occupation illégale, manifestation interdite, visage dissimulé, refus des relevés légaux, refus de coopérer, et surtout un fumigène lancé directement dans le canot d’intervention de nos camarades. Un geste qui peut brûler, blesser, enflammer. Un geste grave. Point.

Et pourtant : relaxe pour les chefs de dissimulation volontaire de leurs visages et pour le refus de se soumettre au relevé d’empreintes, peine symbolique pour les violences commises sur les gendarmes.

Le message envoyé ? Qu'on peut braver la loi, mettre en danger des gendarmes, défier la justice, et sortir du tribunal en souriant.


Cette indulgence répétée finit par créer un climat délétère : celui où la violence contre les forces de l’ordre devient un simple risque « acceptable » pour certains groupes radicaux. Celui où l’État parle fermeté, mais juge avec mollesse même quand les gendarmes sont mobilisés dès potron-minet, sur le terrain, à affronter ces comportements irresponsables.


APNM Gendarmes & Citoyens alerte : à force d’édulcorer les sanctions, on alimente l’idée que tout est permis. Et ce n’est pas seulement une question de jurisprudence : c’est une question de sécurité, de respect, et de cohérence nationale.


Nous demandons à chacun de PARTAGER massivement cette publication.


Parce que c’est en montrant, encore et encore, chaque décision incompréhensible, que l’on expose la faiblesse d’une justice parfois partisane. Parce que c’est en partageant, à chaque fois que cela arrive, que l’on met en lumière les impérities d’un pays qui prétend protéger ses gendarmes mais hésite à sanctionner ceux qui les agressent.

 
 
 
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